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Crocs bisous (EP#2)

by cédrogiric

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    EP#2
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1.
La vautrée 04:53
Tout comme tous ces colonisés, qui aujourd’hui refont surface, Hiroshima reste en secret, dans une culture rien ne s’efface !. Il y a des signes qui me reviennent, un mode de vie et des mangas, un tas d’histoires qui en retiennent, et ce transmettent sans qu’on le vois. You be lost in the world?, sorry. Tout comme tous ces colonisés, qu’aujourd’hui on saigne à la tâche, Fukushima vient nous saluer, la vie tranquille plus rien nous lasse !. En France elle s’appellerai sereine, moi je rêve de la retourner, endormie au bois de la belle, pour la tirer de cette vautrée. You be lost in the world?, sorry You are not asked to worry!. Buy all we sell for to be …a picture of ful filled happy. You be lost in the world, you are not wondering yet, buy all we sell for to ful…filled happy!.
2.
Lorsque tu mettras en sourdine, tes belles critiques sur notre temps, tes belles provocations malines, par crainte de t’en prendre dans les dents !. Lorsque t’auras jeté le jeans, du rock dont tu es l’enfant, parce que tes murs sont bien trop clean, pour t’jeter contre lors d’un élan…tu n’seras plus !. Lorsque tu chercheras ton estime, perdu en en te délaissant, un pied sur le dos d’la routine, lorsque tu joueras les devants. Lorsque tu chercheras l’air tranquille et si fertile de l’isolement, lorsque tu trouveras tes rimes, lorsque que j’aurai ta clé des champs… …tu n’seras plus, la petite fille, que j’ai aimé à 20 ans !. Tu n’seras plus la petite fille, que j’ai aimé à 20 ans, avec ses joies et ses broutilles, dans tous les verbes par tous les temps. Tu n’seras plus…cette petite fille. Adieu noir déz adieu Lénine, adieu Homer et tous les gens, et tes vieux posters d’Indochine, font place à Yann Arthus Bertrand. Tu n’seras plus cette petite fille. Tu n’seras plus cette petite fille…mais bien ma femme !.
3.
Allons voyons, j’te servirai pas d’autres avèzes, pour qu’tu t’les jettes comme d’une falaise, toi qui t’les jettes comme tu descends. T’as plus un rond, ton cœur fébrile est comme la glaise, formé par des biens moins balaises, alors qu’au fond t’est en ciment. Mon pauvre idiot, j’te sers pas de la manganèse, ni d’lazuli ni d’père Lachaise, certainement un verre de trop !. J’suis p’t’être salaud, mais tu m’insultes du haut de tes rêves, à n’voire que des aigles et des bègues, je t’apporte le verre qu’il te faut !.
4.
L'empire 02:42
L’empire et son milieu, déchainé, ce frotte dans la danse…à ses fins arrivé. On en n’a vu passer, des pensées, des vertes trop en avances… …on était là à croire le bon côté, au son des belles avances, on était là à voir tout s’arranger. L’empire et son milieu déchainé. Le pire dans ce milieu conservé !. Le pire dans ce milieu conservé, ce frotte déjà la panse…sa faims sera comblée. Et on en vois passer, dépenser, des sommes dans l’impudence… …et on est là à croire le bon côté, aux vu des avancés, ouais on est là à voir tout s’arranger. L’empire et son milieu déchainé. Le pire dans ce milieu bien conservé !.
5.
Vertu d’une onde, c’est un frisson de dégagé. Comme l’air inonde, le signal sait se propager. Telle une sonde, nous captons le son déployé. Pas une seconde, pour que dans ma colonne tout remonte. Pour juste un coup…, aux cordes, dans les choux. D’une ville sans mémoire jusqu’aux cultures des plus boisées, croquantes idées. Chargées dans la hotte, des moments passés. Un verre à l’ombre, sous les tropiques de Santa fé, la fin du monde, ou une idylle inespérée. Accompagnant des souvenirs propres ou inventés, je me prélasse quand me revient tes mélopées…tout à donner. Pour juste un coup…, aux cordes, dans les choux. D’une ville sans mémoire jusqu’aux cultures des plus boisées, croquantes idées. Sous verrou, pour un précieux rendez-vous, d’une belle vie au hasard jusqu’à l’ordure des plus trempée, insolente idée… …chargées dans la hotte, des moments à passer.
6.
L’amour, un fauteuil en velours, qui nous laisse transit, tout peut tomber autour, on reste bien assis. Peut-être multiple, ou ce vivre à deux, des bons copains de route au cabot ennuyeux !. L’amour, c’est une romance pas que d’aujourd’hui, déjà dans l’air antique on vendait ce produit. C’est un couché d’soleil, une soirée d’été, sur un paquet d’lessive pour nous l’faire acheter !. C’est un monde de princesse d’héroïsme, dans un monde fleurie où tout va, mais comme il nous faut écrire la suite, alors non c’n’est pô tout à fais ça !. L’amour, ça ne vous mène pas, par le bout du nez, ou le fameux coup d’foudre devrait s’appeler coup d’fouet. Surtout si l’on mange quelques escaliers, en voisin on s’invite, venez participer !. L’amour, c’est un monde étanche où l’on vis à deux, deux êtres qui s’élancent, ou seulement l’un des deux !. C’est une attirance, qui vous rend curieux, la tendresse ce mélange, ça vous rend heureux. C’est un jeu potache sans limite, un désir fou sans grand débat, mais comme il nous faut écrire la suite, alors non c’n’est pô tout à fait ça !. L’amour, pas un film de boule, ni un homme objet, boule de cuire dans la bouche, façon cochon de lait !. Pas une évidence, et pas obligé, certains ont l’amour fou de na jamais s’aimer. …ouh ouh ouhhhh…l’amour…pas évident l’amour .
7.
Les crocs 03:37
« Ouais, maintenant je marche à 2 à l’heure » me dit un homme pressé « j’en ai trop vu des couleurs. Surtout l’or que j’récupère, et le rouge aussi des ouvriers en colère. Ouais, faut dire que j’les aie endormis, avec un os à mordre pour tranquillement faire mes plis. Mais maintenant, j’ai bien changé, plus de temps pour ma femme, et surtout pour la tromper. » Lui qui rêvait d’week-end à 2 en Italie…un paradis synthétique l’a trouvé. « Ouais, il faut se battre pour ses idées » me dit une femme divorcée « c’en est finis d’déchanter. Que les hommes crèvent en enfer, et leur monde aussi de réfugier fuyant leur guerres. Ouais, faut dire qu’il touchent à ma patrie, à mon travail aussi, et mes gosses vont en baver. Mais maintenant j’vais me bouger, pour qu’enfin tout ça change j’vais surtout allé voter !. » Elle qui chantait la paix autour d’un feu d’camp hippie…à la lumière d’une flamme tyrannique elle s’est retrouvée !. Avalant des couleuvres, usant de comédie, tout l’art de changer de disque pour faire saigner. Il faut vraiment avoir les crocs, pour venir flatter nos égos !. Une vengeance, un jeu mégalo, toujours prêt à sortir les crocs !.
8.
Distrait 03:59
De pièce en pièce je suis allé, pour me retrouver par erreur, à poil devant une assemblée de profs et d’mon proviseur !. On m’avait pourtant demandé, d’aller chercher mes fringues ailleurs, pour un môme qui voulait frimer, ce faire virer c’est un peu cher…distrait par influence. Dans ma caserne j’ai transporté, un obus droit dans le moteur, d’une voiture faisant l’défilé de gradés et d’leurs supérieurs !. On m’avais pourtant bien chargé, de déposer ce truc ailleurs, pour une barrière mal déplacé le trou c’était pas nécessaire…distrait par imprudence. Pourtant, je n’cherche pas, avec ma peau blême, les problèmes dans ce monde plus d’confusions. J’me suis perdu dans une forêt, conduisant des gens plein de peur, devant la maison enflammée où l’on d’vais prier notre seigneur !. On m’avais demandé, d’y installer ces gens à l’heure, juste pour un plan mal détaillé on a échappé à l’horreur…sauvé par négligence !. Et c’est à l’insu d’mon plein grés, que j’appuis sur l’détonateur, d’une bombe venant localiser des terroristes dans leur secteur. Cette fois j’étais infiltré, pour l’armé je n’étais qu’un leurre, contre mon profil de distrait, m’ont filé la légion d’honneur…distrait par obligeance. Pourtant, avec mon discoure sans poème, je n’cherche pas les emblèmes, dans c’monde plein d’contusions.
9.
Les mômes 03:19
Au détail bibelots, napperons et mogettes, au sous-sol une odeur humide qui s’entête, en retour des vacances passées dans la vienne, sans détour, sur la môme que tu as été. Ta malice trainant au pays des limaces, les vielles farces dont je reconnais bien le ton. Et autours, des voix de géant te ramènent, l’aventure que je vois comme si j’y étais. Je revois, des moments figés dans l’espace, tous ces mondes dans ma tête longtemps traversés. L’aventure, reste présente chez les grands mômes, et autour, l’ombre des géants ramenés.
10.
Le chic 02:15
L’est, pouvait réinventer l’art d’être modeste, que ça nous faisais une belle jambe !. Ici le chic c’est pas nouveau, les médias en on a revendre du prétexte à la demande. Il en reste, pas moins de crétins ni de pestes, d’ordures pour leur montrer les gestes, et la bonté a du boulot. Pars dans la paix et la prudence, plutôt combattre l’indigence !. Je t’en prie mon p’tit gars, reste à bord, tous ceux qui nous séparent…nous veulent du tort. Au nom d’une foi, ou bien encore, de tous ceux qu’on embrasse…c’est toujours au plus fort.

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released December 28, 2019

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cédrogiric Tours, France

L’étreinte d'un jour de flemme, Les joies d'un actionnaire, les accueils musclés d'une taulière, la guerre d'un retraité, l'amour d'un arriviste, ou la surprise d’une partouze ratée, un tas de sujets faisant la part belle à la vie ou aux ennuis, chantés, parlés, sifflés, sur de la chanson rock !. ... more

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